Retrouvailles enneigées [ PV Clemente ]

Clemente n'avait jamais dit cela à quelqu'un, du moins en le pensant au plus profond de son coeur. Lentement, il la serra contre son torse légèrement brûlant, chaleur se faisant ressentire à travers son tee shirt Rivaldi marron à manches longues. Il était amoureux de la jeune Anglaise, il l'aimait comme un fou, au point de vouloir se tuer si il lui arrivait malheure, lui qui a toujours était macho envers les femmes, qui disait sans cesse qu'il n'avait pas besoin d'elles, qu'un homme n'avait pas besoin de leur douce chaleur, de leur tendresse, de leur baiser, se retrouvait comdanné à aimer. Ce qu'il appréciait. Doucement, sa main descendit des longs cheveux de son aimée, elle entra dans la zone du dos, le lui caressant du bout des doigts. Son autre main elle, était allée se poser sur le bas de ses reins, pouvant mieux la serrer contre lui. Au contact de son corps chaud, ses mains, encore tièdes, continuèrent leur découverte sur le dos de Vanille, le connaissant déjà comme une des sept merveilles du monde. Sa tête se déplaca après que son aimée l'est embrassé à bout de lèvres, auquel une sensation exquise de plaisir s'était joint, tendrement ses lèvres allèrent chercher les siennes. Il partit de la joue, la lui embrassant d'un petit baiser à craquer, puis l'autre joue, d'un même baiser, puis doucement il se rapprocha de son but, embrassant sur la comissure de ses lèvres, pour finalement aller voler la lèvre inférieur de Vanille, un long baiser, tendre, passionné, doux. Une preuve de son amour.

Pendant que Vanille avait encore sa tête dans le creu du cou du jeine Italien, ce dernier alla poser un baiser sur son front, comme un signe de respect, lui promettant la dignité, l'amour, une vie belle et heureuse. Le tableux était plus que resplendissant, deux amants sur une route, devant un champ blanc qui en temps normal devrait faire ressortir ses couleur jaunes vives. C'était, à coupes le souffle, si un photographe passait dans le coin, il voudrait forcément prendre des clichés à n'en plus finir, un temps doux et frais à la fois, un payage merveilleux, un amour véritable. Doucement Clemente resserra son étreinte, profitant de la chaleur du corps de sa bien aimée, sentant son souffle tiède s'envoler et se déposer sur sa peau, sentant son délicieux parfum, ni trop fort, ni trop caché, mit à la perfection, une odeur unique, celle de Vanille. Quand cette dernière se redressa, les mains de son fiancé caressèrent son corps, faisant preuve de délicatesse, douceur et tendresse. Des mouvements impossible à faire par autruit, un amour impossible à copier. Quand les lèvres de Vanille s'approchèrent des siennes, Clemente éllimina le vide qui les séparés, allant l'embrasser dans un même baiser, tendre, doux, magique, incomparable.

Clemente caressait doucement le dos de Vanille, profitant de la chaleur de son corps, souriant comme au première jour heureux de sa vie, pour une fois, son regard brillait, illuminait le vaste paysage blanc, une flamme dansait dans ses yeux, une flamme brûlante d'un amour éternel. Doucement ses lèvres se séparèrent de celles de Vanille, à contre coeur. Entendant ses mots, la flamme d'amour qui caressait son iris se fit plus forte.

[ Panne d'inspi ]

Clemente approcha doucement son visage près de la peau de Vanille, y déposa un tendre baiser sur l'épaule de son aimée. Lui caressant le dos, il la serra contre son torse qui commencait à se sentir chaud.